Principe de fonctionnement

Comme son nom l’indique, la brosse à dents électrique ressemble à une brosse à dents traditionnelle, sauf qu’elle marche avec l’énergie électrique d’une batterie. Le but de cette invention est de réduire l’effort qu’un brossage manuel engendre. En effet, une brosse à dents électrique marche seule, et est capable d’effectuer des mouvements améliorant l’expérience de brossage.

Désormais, il existe même une gamme sonique, capable d’émettre des vibrations supérieures à 200 Hz, ainsi que des oscillations pouvant aller jusqu’à 12 000 par minute. Ces dernières innovations sont catégorisées parmi les modèles les plus pratiques, surtout pour les personnes à mobilités réduites. Diverses marques en commercialisent, mais les principes d’utilisation sont les mêmes : placer du dentifrice sur la brosse et activer le bouton «on».

Bon à savoir : Pour éviter les risques de projection salivaire, arrêtez l’appareil avant de le sortir de votre bouche.

Choix d’une brosse à dents électrique

Le choix d’une brosse à dents électrique ne se fait pas sur un coup de tête. Pour trouver la brosse à dents la plus adaptée à vos besoins, renseignez-vous sur le site y-brush.com. Toutefois, sachez qu’il existe des critères bien précis à prendre en compte :

• Votre hygiène bucco-dentaire : avant d’acheter une brosse à dents électrique, il est impératif que vous sachiez votre rythme de brossage, les points faibles de vos dents, etc. Ce n’est que grâce à ces informations que vous pourrez choisir votre appareil ;

• Votre budget : le coût moyen d’une brosse à dents électrique est de 25 euros. Cependant, ce prix peut aller jusqu’à 300 euros, selon la marque et les capacités de l’appareil électrique ;

• Le style de mouvement : sonique pour ceux ayant les gencives sensibles, oscillo-rotative pour les gencives saines et robustes ;
• La marque : Oral-B, Philips ou encore Panasonic, faites votre choix en vous basant sur leurs années d’expérience.

Les avantages d’une BDE

Les principaux avantages d’une brosse à dents électrique résident dans sa praticité et son hygiène. En effet, ce type de brosse à dents nettoie les dents et protège les gencives. Selon une étude menée par des spécialistes bucco-dentaires, elles retirent deux fois plus de plaques dentaires qu’un brossage manuel.

De plus, les risques de caries sont bien moins élevés, car cet appareil est respectueux de la santé des dents. Cette action est possible via les capteurs de pression intégrés dans le circuit. Dès que la pression exercée par l’utilisateur devient trop forte, le mécanisme se bloque pour éviter un saignement gingival.

Enfin, sachez que l’utilisation d’une BDE n’est pas soumise à une restriction d’âge. Il est même recommandé par les dentistes de commencer à l’utiliser dès le plus jeune âge.

Conseils pour des pieds en bonne santé

Le premier conseil, c’est de ne jamais négliger vos pieds. Puis, ne portez pas toujours les mêmes chaussures et autant que possible, marchez pieds nus. Marcher pieds nus, c’est bon pour la voûte plantaire, pour les tendons et pour les muscles du pied. Mais cela permet aussi de faire travailler vos pieds et active le système sensorimoteur. Marchez pieds nus chez vous, mais aussi dehors, dans votre jardin, dans un parc, sur le sable lorsque vous êtes en bord de mer, sur le sol de la forêt. Vous en ressentirez des sensations agréables mais surtout, vous massez ainsi vos pieds, ce qui est bénéfique pour votre corps en général.

Portez des chaussures adaptées

Pour des pieds en bonne santé, pensez à porter uniquement des chaussures qui vous sont véritablement adaptées. Vos chaussures ne doivent pas être trop hautes, c’est vraiment mauvais pour la circulation sanguine et pour votre dos, mais elles ne doivent pas être trop larges ni trop étroites ni trop courtes non plus. Sinon, vous risquez d’avoir des ampoules, des rougeurs ou pire, vous pourriez avoir des pieds déformés. Souvenez-vous que le pied a besoin de soutien, d’un bon soutien pour rester en bonne santé. Bien que des chaussures vous plaisent comme jamais, ne cédez pas à la tentation si elles ne correspondent pas parfaitement à vos pieds.

Commande de kit de test de paternité en ligne

La majorité des laboratoires proposant un test de paternité en ligne se trouvent dans un pays étranger, hors de France. L’accès au test se fait par commande en ligne d’un kit de test de paternité. Il s’agit d’un kit de prélèvement pour test ADN. La livraison du kit se fait par voie postale dans un délai de 24 h à 48 h suivant la commande. Si ce type de service vous intéresse, cliquer ici pour faire une commande de kit. Le prélèvement se fera à domicile et les échantillons seront envoyés au laboratoire par voie postale également. La réception des résultats du test de paternité varie d’un laboratoire à un autre.

Les échantillons adaptés pour un test de paternité

Pour que le test ADN de filiation paternelle soit fiable, il faut être judicieux dans le choix des échantillons à prélever. L’ADN se trouvant dans la salive, le sperme ou le sang est bien conservé. Il faut choisir des cheveux encore munis de bulbes si c’est le type d’échantillon dont vous disposez. Il faut par ailleurs envoyer plusieurs brins de cheveux pour des résultats probants.

La fiabilité d’un test de paternité en kit

En théorie, le test de paternité via un test ADN est scientifiquement fiable à 99,99 %. Mais puisque le test de paternité sur kit en ligne ne sera pas effectué dans un laboratoire agrée, mais à titre privé, la fiabilité du test dépendra de la qualité des échantillons prélevés et du laboratoire. Prenez ainsi le temps de vérifier les accréditations et la réputation du laboratoire en ligne que vous choisissez. Respectez scrupuleusement également les étapes de prélèvement d’ADN pour qu’il n’y ait aucune erreur.

Comprendre le TDAH

Le TDAH est un trouble complexe, voilà pourquoi il est sujet à de nombreuses idées reçues. La prévalence de ce trouble est d’environ 3.5% en France d’après une étude mais on a pu prélever que la majorité des enfants atteints sont inattentifs. Certains sont hyperactifs-impulsifs et d’autres combinent l’inattention et l’hyperactivité accompagnée d’impulsivité Parmi les enfants scolarisés actuellement en France, environ 5% sont atteints de TDAH. Le TDAH touche plus les garçons que les filles en général. Il combine différents symptômes dont les plus importants sont le déficit de l’attention, l’impulsivité et l’hyperactivité motrice. L’intensité de ces symptômes change en fonction de chaque individu. On relève d’autres symptômes comme le trouble de la perception et de la conceptualisation, le déficit de langage et de la coordination. Le TDAH peut aussi impacter sur la mémoire de l’enfant et se trouver à l’origine des dyspraxies.
De nos jours, peu de parents savent que leur enfant est hyperactif, certains ne remarquent même pas qu’il est agité. On confond souvent la bougeotte et la turbulence avec l’hyperactivité chez l’enfant alors que ce n’est pas du tout le cas. Certains affirment que ce trouble est récent mais non, il a toujours existé. L’agitation ne doit pas être inquiétante sauf si les symptômes sont de plus en plus handicapants et affectent la vie de l’enfant : échec scolaire, problème dans sa vie sociale, etc. Le plus souvent, le TDAH est détecté vers l’âge de 12 ans grâce à différents comportements de l’enfant. Mais quelles peuvent être les causes de ce trouble ? Parmi les causes, on retrouve notamment l’hérédité, un dysfonctionnement du cerveau, problème de stockage de fer, etc.

Repérer et traiter le TDAH

Pour traiter le TDAH, il faut déjà le détecter. La plupart du temps, on repère le trouble chez l’enfant à travers sa vie scolaire. Il a, en général, des problèmes d’apprentissage et cela se traduit souvent par un échec scolaire. L’enfant présente une instabilité psychomotrice : il a un comportement hyperactif non intentionnel et sans objectif précis. Cela représente un obstacle pour l’attention et la concentration. De ce fait, il n’est pas capable de réaliser des travaux structurés, ceux qui sont proposés par le professeur aux autres élèves. Avec une telle agitation, il ne peut se tenir tranquille sur une chaise, son attention est toujours interrompue. Néanmoins, ce déficit d’attention est sélectif puisqu’il peut très bien se concentrer sur des choses qu’il apprécie comme regarder la télé, jouer aux jeux vidéo ou manipuler son jouet préféré. Outre l’instabilité psychomotrice, l’enfant atteint de TDAH a un trouble du langage, il a des difficultés à terminer une phrase. Cela peut arriver malgré le manque de concentration ou bien l’oubli. Il convient de préciser que l’enfant est très impulsif et agit souvent sans réfléchir. D’ailleurs, il présente une mauvaise coordination des mouvements : réaliser deux actions simultanément lui est impossible. A cela s’ajoute des troubles de latéralité et d’autres incapacités comme s’habiller tout seul ou mettre correctement les chaussures. Bref, un enfant souffrant de TDAH souffre dans la vie sociale, il a du mal à s’intégrer et de communiquer avec son entourage. Son manque de concentration le bloque et rend difficile tout apprentissage (lecture, écriture, etc.).

Pour bien traiter ces troubles, il faut les diagnostiquer plus tôt car il faut que l’enfant soit pris en charge dès son plus jeune âge. Les parents doivent l’emmener chez le pédiatre et ils doivent subir un interrogatoire. Lorsque le TDAH est confirmé, le pédiatre leur suggère un spécialiste qui peut être un neurologue ou un neuropédiatre. L’intervention d’un psychiatre ou d’un pédopsychiatre est aussi adaptée. Le traitement repose généralement sur la thérapie : il combine médicaments et psychothérapie. Par ailleurs, un enfant souffrant de ce trouble a besoin du soutien de son entourage mais surtout de son professeur, sinon il souffrira encore plus et s’enfermera sur lui-même.

Prévenir un risque d’antibiorésistance

La surconsommation d’antibiotiques liés à la pandémie de la Covid-19 augmente de façon exponentielle à l’échelle mondiale. L’utilisation de ces médicaments dédiés aux traitements antibactériens inquiète les autorités sanitaires mondiales. Les risques de résistances aux antibiotiques pourraient en effet, engendrer des conséquences néfastes sur le long terme pour l’organisme. On redoute des impacts sur la charge de morbidité et de la mortalité pendant la crise et au-delà. En France, par exemple, les prescriptions d’azithromycine ont augmenté de 217 % depuis le début de la crise sanitaire. Il faut toutefois noter que les traitements avec les antibiotiques ou les prophylactiques sont autorisés si le patient est atteint d’une infection bactérienne.

Traitements de la Covid-19 : une perturbation de la prévention et du traitement d’autres maladies

L’utilisation excessive des antibiotiques pour le traitement de la Covid-19 a perturbé la prise en charge de certaines maladies. Dans certains pays nécessiteux, le manque d’antibiotiques a causé la mort et la souffrance de nombreux malades. Selon des études menées au niveau de 155 pays, on remarque des perturbations totales ou partielles au niveau de différents services de traitement. On observe également une perturbation de 31 % pour les urgences cardiovasculaires, 42 % pour le traitement du cancer et 49 % pour le traitement du diabète. Cependant, l’antibiothérapie est recommandée dans certains cas en respectant les recommandations en vigueur. C’est un traitement recommandé pour les patients âgés ou les patients en réanimation. Dans ce cas, il s’agira d’une antibiothérapie qui va permettre de prendre en charge les infections respiratoires basses. Toutefois, le traitement des patients en réanimation ne doit pas dépasser les 7 jours.

Comment le Covid-19 se transmet-il ?

De nombreuses études ont montré que cette pandémie se transmet facilement en attaquant les voies respiratoires à travers les éternuements et les cas de toux. En d’autres termes, il s’agit d’une transmission interhumaine. Les moindres contacts avec une personne infectée favorisent de ce fait, les risques de contamination et surtout en cas d’absence de mesures de protection adéquates. Selon les études, cette maladie peut aussi se transmettre avec des aliments ou autres objets physiques, si ces derniers ont été manipulés par une personne infectée et n’ont pas été désinfectés. Néanmoins, aucune preuve n’a encore été apportée que les animaux de compagnies ou l’air peuvent propager ce virus.

Quels sont les symptômes du Covid-19 ?

D’après une recherche approfondie sur le sujet, les symptômes les plus fréquents qu’on a pu constater en cas d’infection par le coronavirus est la présence de fièvre, d’une toux sèche, d’un cas de fatigue, d’une douleur osseuse ou articulaire, d’un mal de gorge et de tête, d’une nausée, d’un nez bouché et bien d’autres encore. Par rapport à tout cela, la majorité des victimes du Covid-19 en Chine (d’où la maladie est partie) ont toutes été fiévreuses et toussaient sèchement. Il est aussi fortement recommandé de consulter un médecin si une perte de goût et de l’odorat commencent à se manifester. Mais ce signe reste toujours rare et n’est souvent observé que chez les jeunes patients.

Les mesures adaptées pour prévenir l’infection

Vu qu’il n’existe pas encore de traitement spécifique pour lutter contre la contamination et la propagation du coronavirus, chaque gouvernement des pays atteints par la maladie se doit de communiquer des mesures préventives. Tout le monde, sans exception, doit se laver les mains de façon régulière et utiliser le coude pour tousser ou éternuer afin d’empêcher la propagation des virus. Mais également, chacun est invité à porter un masque surtout pour les personnes malades. En ce qui concerne les personnes en contact avec un ou plusieurs malades, il faut tâcher de surveiller trois fois par jour leur température. Et en cas d’apparition des symptômes sus mentionnés, il est impératif d’éviter de fréquenter des personnes fragiles. Par ailleurs, en cas de signe, il est recommandé de s’approcher au plus vite d’un centre de traitement et de prise en charge des cas de Covid-19 où on peut prodiguer les soins appropriés.

Accoucher sans souffrir grâce à la péridurale et l’anesthésie

Une femme enceinte a 9 mois pour décider de la méthode de délivrance. Beaucoup de mamans choisissent la voie basse en ayant conscience que ce sera une rude épreuve. La péridurale est évoquée par la sage-femme ou l’obstétricien pendant les consultations prénatales. Cette solution consiste à accoucher sans douleur ou avec le moins de souffrance qui soit grâce à l’anesthésie. Des produits actifs rendent les nerfs au niveau des lombaires moins sensibles. L’effet devient effectif quelques minutes après l’injection. La personne peut mieux encaisser les contractions. Sous anesthésie, la délivrance s’avère être plus supportable. Seulement, les effets secondaires deviennent problématiques surtout avec une perfusion à la morphine. C’est la raison pour laquelle il faut réserver l’opération césarienne en dernier recours.

Bien préparer un accouchement par voie basse

Il est tout à fait possible d’accoucher sans souffrir le martyre grâce à une bonne préparation. Pour ce faire, la formation avec la sage-femme est indispensable. Il existe également des ateliers qui apprennent aux futures mères comment gérer la naissance de bébé. Des sites comme accouchement-naturel.com proposent aussi des astuces pour moins ressentir la douleur au moment de l’accouchement. Un ostéopathe reconnu a aussi mis au point une approche basée sur des expériences concrètes. Le praticien suggère un protocole d’accouchement sans douleur à travers une vingtaine de séances. La femme doit venir quotidiennement dans son cabinet pour apprendre tous les modules. La formation permet de gérer les sensations physiques et le souffle. Elle porte également sur le côté émotionnel notamment le stress de la délivrance. Pour que l’accouchement se passe bien, le futur papa et la future mère doivent préparer ensemble l’arrivée de bébé en discutant avec le personnel médical, en préparant les effets de bébé, etc. Tout cela réduit le stress le jour de l’accouchement. La sophrologie est aussi indiquée pour mieux supporter les contractions.

Envisager des méthodes non conventionnelles de délivrance sans souffrance

De tout temps, l’humanité a toujours cherché une manière de donner naissance à un enfant sans souffrir. La Chine propose l’acupuncture. Cette médecine alternative consiste à équilibrer le Yang et le Yin. L’harmonisation du flux d’énergie vitale qui traverse tout le corps pourrait aider à moins ressentir les lancinations. Si vous choisissez cette méthode, il faudra en parler avec votre obstétricien ou votre sage-femme chargée de la consultation prénatale.
L’hypnose est aussi une technique à explorer. L’efficacité réelle de cette approche reste encore à démontrer cliniquement. En cas d’absence de preuves scientifiques, ce sont surtout les témoignages qui comptent. De toute manière, les équipes médicales ne sont pas contre cette technique pour réduire le stress ou pour détourner l’attention de la lombalgie chronique.
La méthode Bonapace est une préparation à l’accouchement basée sur des postures de yoga et la respiration. Le massage par des professionnels permet aussi de conditionner le corps de la femme à une délivrance plus agréable.

Diagnostiquer diverses pathologies grâce à l’électrocardiogramme

Le principal rôle de l’électrocardiogramme consiste à vérifier le fonctionnement électrique du cœur. L’ECG illustre le rythme cardiaque par un graphique qu’il faudra interpréter. Le spécialiste reconnaît lorsque les courbes montrent une anomalie. Un patient peut par exemple présenter une arythmie. Ce symptôme révèle parfois la présence d’une angine de poitrine ou d’un risque d’infarctus de myocarde. Les personnes vivant avec une hypertension artérielle ou une péricardite reflètent aussi leur état de santé avec des courbes différentes du standard.

Observer l’état des patients au bloc ou en soins intensifs

L’ECG est utilisé dans trois contextes. Le cardiologue a recours à cet examen en cas de soupçon de maladie du cœur. Les courbes peuvent révéler la présence d’une inflammation des tissus ou d’un trouble purement fonctionnel. L’expertise peut se faire lors d’une consultation externe ou bien pendant un séjour à l’hôpital. Les électrodes sont branchées sur les patients sous anesthésie dans le bloc opératoire. L’appareil montre en temps réel les données illustrant son état de santé. Plus rarement, l’ECG est utilisé pour suivre de près les performances des sportifs de haut niveau.

Analyser les données pour orienter le traitement

En consultation externe, l’analyse des données fournies par l’ECG aide à orienter le traitement. Dans un premier temps, les courbes permettent d’affirmer ou d’écarter des maladies touchant le système cardiovasculaire. Ces détails sont indispensables aux chirurgiens, mais surtout à l’anesthésiste afin de prendre des décisions sur une future opération. Les anomalies de l’ECG révèlent parfois des pathologies d’ordre neurologique ou respiratoire. Outre les douleurs à la poitrine, l’essoufflement peut être le signe d’un problème de cœur.

Douleurs au nerf sciatique

Pour rappel, le nerf sciatique est le plus long nerf du corps humain, il commence au bas du dos, descend dans les deux jambes et se divise en plusieurs branches au niveau du genou pour arriver jusqu’aux orteils. C’est un nerf dont la fonction est à la fois sensitive et motrice. Dans le cas d’une sciatalgie, la personne touchée ressent une sensation de choc électrique ou des engourdissements au bas du dos. La personne ressentira des douleurs sur un côté du corps, aura mal à la fesse, à la cuisse, au mollet jusqu’au bout des orteils. Autrement dit, la douleur va passer sur tout le parcours du nerf sciatique. Ce qu’il faut savoir, c’est que la sciatalgie est le signe d’un autre problème de santé, le plus souvent, au niveau de la hernie discale. En effet, un disque intervertébral peut se rompre suite à des efforts physiques intenses répétés. Cela peut être une maladie professionnelle, car ce mal peut concerner une personne dont le travail consiste à soulever de lourdes charges chaque jour ou qui est obligée d’adopter certaines postures de façon prolongée. Le noyau de la hernie peut sortir de son socle, compresser la racine du nerf, provoquer une inflammation et la douleur au nerf sciatique se déclenche. Une autre cause des douleurs au nerf sciatique, c’est l’arthrose lombaire, de même que le syndrome du piriforme.

La physiothérapie au secours du nerf sciatique

Pour soulager la douleur du nerf sciatique, l’un des traitements les plus efficaces, c’est la physiothérapie. Suivre un traitement auprès d’un spécialiste, chez Physio Ostéo Longueuil par exemple, permet d’atteindre les objectifs suivants : diminuer les douleurs, améliorer la musculature incluant les muscles du bas du dos et des fessiers et les abdominaux profonds, corriger les mauvaises postures pour ne plus réveiller les douleurs. Cette dernière partie est essentielle pour apprendre à la personne à effectuer des mouvements appropriés au quotidien. Non seulement les conseils du physiothérapeute aident à réduire la douleur, mais ils permettent aussi à prévenir de nouvelles récidives.
Le médecin peut prescrire des anti-inflammatoires non stéroïdiens, des relaxants musculaires, des infiltrations de corticoïdes ou des antalgiques pour soulager la douleur du nerf sciatique. Mais dans la vie de tous les jours, il faut prendre l’habitude de se tenir bien droit, de bien appuyer le dos, de poser les pieds au sol sans allonger les jambes devant soi et encore moins les croiser. S’il faut porter de lourdes charges, préférez les tirer ou les pousser au lieu de les soulever.

Les causes du stress

Pourquoi tout le monde est stressé aujourd’hui ? La vie est faite de tellement d’incertitudes et de changements qu’il est normal que l’on stresse. Maladie, criminalité, catastrophe naturelle ou provoquée par l’Homme, accident grave, les soucis en rapport avec le travail, la sécurité financière, la pression sur le plan professionnel, le divorce et la perte d’un être cher sont autant de raisons qui engendrent du stress. Bien sûr, il y a d’autres sources de stress comme les embouteillages, les examens, les entretiens d’embauche, etc. On ne peut pas dire que telle ou telle raison est moindre par rapport à une autre, car tout dépend de la fragilité et de la sensibilité de chacun, du vécu et de l’expérience. Chacun réagit différemment au stress et chacun a sa façon de le gérer. N’oubliez pas, mal géré, le stress peut vous rendre irritable, en colère et peut même vous rendre malade.

Gérez efficacement votre stress

Le principe qui devrait guider votre vie pour moins stresser, c’est « un jour à la fois ». Aujourd’hui, vous avez des inquiétudes, demain aussi probablement, mais n’ajoutez pas ces dernières à celles que vous devez régler aujourd’hui. Apprenez à ne pas vous soucier des choses sur lesquelles vous n’avez aucune maîtrise. Puis, dites-vous que, très souvent, vos pires craintes ne se réalisent pas, et heureusement ! Autre chose importante, c’est d’être raisonnable dans vos attentes, aussi bien à votre égard qu’envers autrui. Soyez conscient de vos limites, acceptez-les et faites de même pour ceux qui vous entourent. Un remède instantané à un trop-plein de pression ou de stress, c’est le rire. Gardez votre sens de l’humour, même au cœur du problème le plus ardu. Le rire ne va pas résoudre le problème, mais tout le monde retrouvera sa bonne humeur et du courage. Il est aussi vital que vous appreniez à détecter ce qui vous stresse. Mettez le doigt dessus et constatez votre réaction, vos sentiments, votre comportement. Mieux vous connaître vous aide à mieux gérer votre stress. Prenez un peu de recul pour voir le problème sous un autre angle. Peut-être que vous pourriez relativiser la situation et moins stresser. Pour apprendre à mieux gérer votre stress, les conseils sur stress.app/fr/ peuvent aussi vous être utiles. Enfin, pour libérer votre stress, pensez à faire du sport, à méditer, etc. Prenez aussi du temps pour vous, pour faire des activités qui vous plaisent.