Les causes du diabète

Le diabète est causé par un mauvais fonctionnement de l’insuline dans le corps. En effet, l’insuline est l’hormone qui assure le transport du glucose (sucre) dans toutes les cellules humaines. Si le glucose ne circule pas, il stagne dans le sang. Et s’il y reste trop longtemps, il peut entraîner la destruction des organes et de sérieuses complications puisque l’énergie apportée par le glucose n’arrive plus dans les cellules.
Une personne diabétique a alors un problème d’insuline. Soit son corps ne tolère plus l’insuline sécrétée par son pancréas, soit elle n’en produit pas assez pour assurer la circulation du glucose.

Les différents types de diabète

Il existe deux types de diabète : le diabète de type 1 et le diabète de type 2.
Le diabète de type 1 touche 6% des personnes diabétiques. Ces personnes doivent se faire injectées des doses d’insuline régulièrement pendant toute leur vie, puisqu’elles n’en secrètent plus. Les causes de ce type de diabète ne sont pas encore connues.
Le diabète de type 2 est par contre causé par un style de vie malsain, en plus de l’hérédité et de l’âge. Le manque d’activités physiques, une alimentation mal équilibrée, le surpoids ou encore l’obésité en sont les principales causes. Ces personnes sécrètent de l’insuline, mais leurs corps ne le tolèrent plus très bien.

Les effets du diabète sur le corps

Le diabète entraîne de nombreux problèmes de santé : maladie cardio-vasculaire, impuissance, sensibilité aux infections, destruction des organes, ou encore des ulcères qui peuvent entraîner une amputation. Il est alors important de le dépister le plus tôt possible pour limiter les dégâts.

Les effets de certains aliments sur le cerveau

Etant donné que c’est un déséquilibre au niveau du cerveau qui fait qu’une personne soit atteinte de la maladie d’Alzheimer, il est faut donc tout faire pour protéger le cerveau. Or, certains aliments ont des effets bénéfiques sur le cerveau et grâce à eux, le risque de développer une démence diminue considérablement. Bien qu’on ignore encore à ce jour les causes véritables de la maladie d’Alzheimer, il est tout à fait possible d’en diminuer les facteurs de risque. Pour résumer les résultats de l’étude menée par les experts du Global Council on Brain Health, les aliments et régimes pour le coeur sont aussi bons pour le cerveau.

Bien manger

Il est donc possible de protéger le cerveau des effets du vieillissement et de la maladie d’Alzheimer par l’alimentation. Il est prouvé que l’alimentation impacte positivement sur le cerveau et de bonnes habitudes alimentaires sur le long terme sont excellentes pour la santé cérébrale. Même âgé, un parent peut toujours changer de régime alimentaire et cela lui sera toujours bénéfique. Le meilleur régime pour protéger le cerveau est le régime méditerranéen, le régime MIND et le régime DASH, de même que le régime nordique. Gardez toutefois à l’esprit qu’il n’existe pas d’aliment miracle pour combattre l’Alzheimer, mais un régime à base de fruits et légumes (verts de préférence) et d’origine végétale est le plus recommandé.

Comment le Covid-19 se transmet-il ?

De nombreuses études ont montré que cette pandémie se transmet facilement en attaquant les voies respiratoires à travers les éternuements et les cas de toux. En d’autres termes, il s’agit d’une transmission interhumaine. Les moindres contacts avec une personne infectée favorisent de ce fait, les risques de contamination et surtout en cas d’absence de mesures de protection adéquates. Selon les études, cette maladie peut aussi se transmettre avec des aliments ou autres objets physiques, si ces derniers ont été manipulés par une personne infectée et n’ont pas été désinfectés. Néanmoins, aucune preuve n’a encore été apportée que les animaux de compagnies ou l’air peuvent propager ce virus.

Quels sont les symptômes du Covid-19 ?

D’après une recherche approfondie sur le sujet, les symptômes les plus fréquents qu’on a pu constater en cas d’infection par le coronavirus est la présence de fièvre, d’une toux sèche, d’un cas de fatigue, d’une douleur osseuse ou articulaire, d’un mal de gorge et de tête, d’une nausée, d’un nez bouché et bien d’autres encore. Par rapport à tout cela, la majorité des victimes du Covid-19 en Chine (d’où la maladie est partie) ont toutes été fiévreuses et toussaient sèchement. Il est aussi fortement recommandé de consulter un médecin si une perte de goût et de l’odorat commencent à se manifester. Mais ce signe reste toujours rare et n’est souvent observé que chez les jeunes patients.

Les mesures adaptées pour prévenir l’infection

Vu qu’il n’existe pas encore de traitement spécifique pour lutter contre la contamination et la propagation du coronavirus, chaque gouvernement des pays atteints par la maladie se doit de communiquer des mesures préventives. Tout le monde, sans exception, doit se laver les mains de façon régulière et utiliser le coude pour tousser ou éternuer afin d’empêcher la propagation des virus. Mais également, chacun est invité à porter un masque surtout pour les personnes malades. En ce qui concerne les personnes en contact avec un ou plusieurs malades, il faut tâcher de surveiller trois fois par jour leur température. Et en cas d’apparition des symptômes sus mentionnés, il est impératif d’éviter de fréquenter des personnes fragiles. Par ailleurs, en cas de signe, il est recommandé de s’approcher au plus vite d’un centre de traitement et de prise en charge des cas de Covid-19 où on peut prodiguer les soins appropriés.

Les causes de la candidose

En temps normal, on retrouve le Candida dans la bouche, le tube digestif, dans les voies génitales féminines et sur la peau. C’est un Saprophyte commensal présent dans l’organisme humain. C’est-à-dire qu’il devient pathogène en profitant de facteurs favorables à sa prolifération.
Les facteurs souvent à l’origine de la candidose sont :
– Un traitement antibiotique fréquent
– Le stress
– La transpiration et l’humidité
– Le diabète
– Le surpoids et l’obésité
– Les corticoïdes
– La grossesse
– La prise de contraceptifs oraux
– Le port de vêtements trop serrés
– L’immunodépression
Selon les zones d’infection, on distingue la candidose des muqueuses pouvant être buccale, œsophagienne ou génitale. La candidose cutanée se manifeste au niveau des plis cutanés (aisselles, aine, pli fessier), des espaces interdigitaux et les zones de transpiration. La candidose généralisée affecte surtout les personnes immunodéprimées. L’infection se situe en profondeur dans ce dernier cas.

Comment diagnostiquer une candidose ?

Avant d’entamer un traitement de la candidose, il est nécessaire de faire un diagnostic. Non seulement pour s’assurer qu’il s’agit bien de candidose, mais aussi d’identifier l’espèce de Candida mise en cause. Selon https://candidose.info, les candidoses superficielles (candidose cutanée ou candidose buccale) sont faciles à diagnostiquer. Il suffit d’une consultation chez le médecin pour un examen clinique.
S’il y a suspicion de candidose œsophagienne, il est nécessaire de faire une endoscopie en plus de l’examen clinique. Cela permet l’identification de la souche de Candida concernée.
Un frottis vaginal est nécessaire dans le cas d’une candidose au niveau des parties génitales féminines. Des germes ou des parasites peuvent être à l’origine d’une infection génitale en plus de la candidose, d’où la nécessité d’un frottis pour établir un diagnostic.
Dans le cas d’une candidose généralisée, le diagnostic se fait par des tests sanguins. Soit par immunoélectrophorèse soit par recherche d’antigène.

Traitement et prophylaxie de la candidose

Lorsque le diagnostic confirme la présence de candidose, le médecin peut prescrire un traitement. Ce dernier repose sur l’utilisation d’antifongiques. Les plus utilisés sont les antifongiques locaux, en topiques telles que les crèmes, les lotions, les pommades, les bains de bouche. Pour les candidoses vaginales, le traitement se fait à l’aide d’ovules antifongiques. Pour les candidoses chroniques, une administration de comprimés est nécessaire. Dans les formes les plus compliquées, le traitement peut se faire sous forme d’injection.
Il existe aussi des méthodes naturelles pour traiter la candidose. On peut citer la prise de probiotiques, la prise d’acide caprylique, l’utilisation d’huile essentielle et l’utilisation d’huile végétale comme celle d’Origan.
Il est possible de diminuer les facteurs risques de la candidose. Pour ce faire, commencez par surveiller votre régime alimentaire : évitez de manger trop de sucre, évitez l’alcool, incluez le yaourt dans votre régime. L’automédication par la prise d’antibiotiques ou de corticoïdes est à éviter. Apprenez également à gérer votre stress.
Même après un traitement, des récidives peuvent survenir, souvent c’est à cause des facteurs de risques.

Bien respirer pour libérer le stress

Face à une situation stressante, les réactions changent d’un individu à un autre, selon l’âge de la personne, sa situation personnelle, son sexe aussi, et d’autres facteurs. Mais en général, tout le monde montre des signes visibles, tels que des crampes, des sueurs froides, des palpitations, etc. Puis, il y a les signes moins visibles dans le cas où le stress n’a pas été géré correctement ou pas du tout. Ce qui veut dire que le stress peut induire des conséquences négatives aussi bien sur le corps que sur l’esprit, et plus ou moins graves selon les cas. Pour limiter les dégâts pouvant être engendrés par le stress, la première chose à faire est de réduire les causes de la tension. À cet effet, une bonne respiration est un remède très efficace. Lorsqu’on stresse, le diaphragme est bloqué. Par conséquent, l’apport d’oxygène dans l’organisme et le cerveau est limité. Pour retrouver rapidement son calme, il est important d’apprendre à bien détendre son diaphragme. En bien respirant par le ventre, on libère le stress.

Le stress et les maladies

Il faut préciser que le stress en lui-même ne crée pas une maladie. Par contre, il peut être à l’origine du développement de certaines pathologies et les aggraver. Des troubles du sommeil, une grosse fatigue au réveil (ce qui implique que le sommeil n’a pas été réparateur), l’anxiété, l’irritabilité et la nervosité sont autant de symptômes du stress. Même une personne naturellement calme peut présenter ceux-ci dès lors qu’elle est stressée. La personne stressée peut aussi ressentir des douleurs articulaires, de l’arthrose, des contractions musculaires au niveau du dos ou des crampes. Selon les individus, une baisse de la libido et d’autres troubles sexuels peuvent également apparaître. Des troubles de la mémoire aussi affligent les grands stressés. Ce qui se traduit par des erreurs fréquentes et des oublis plus ou moins réguliers.

D’autres troubles encore plus graves

À un stress mal géré et qui n’est pas pris en charge, un autre peut s’ajouter. Ce qui, à la longue, donne lieu à un excès de stress ou un stress chronique. Ne pas écouter son corps lorsqu’il envoie des signaux peut exposer un individu à un véritable problème de santé, surtout si celui-ci a déjà de lourds antécédents de santé. À ce stade, le plus souvent, les femmes deviennent dépressives.

Le stress chronique peut aussi finir par engendrer des troubles cardio-vasculaires tels qu’un infarctus du myocarde, des troubles gynécologiques comme un retard ou l’absence de règles, ainsi que des maladies digestives telles que la diarrhée, les ulcères, les gastrites, les ballonnements ou les colopathies. Des infections cutanées peuvent aussi survenir. Ce peut être de l’eczéma, de l’herpès, des psoriasis, etc.

Les causes de l’infection urinaire chez l’homme

– La sexualité : la raison première des infections urinaires chez l’homme reste les maladies qui se transmettent par les rapports sexuels, elles-mêmes causées par des bactéries appelées chlamydia ou gonocoques. La sodomie non protégée rend propice l’infection par la bactérie E.coli.
– L’anatomie : quand la prostate s’agrandit et gêne l’évacuation de l’urine, la menace de propagation de bactéries dans la vessie est alors plus grande.
– Les autres facteurs comme les blessures neurologiques qui peuvent entraîner un problème pour uriner, le diabète qui favorise la cystite, et les calculs rénaux qui augmentent le risque de pyélonéphrite.

Les symptômes de l’infection urinaire chez l’homme

 En cas d’urétrite : une souffrance aigüe en urinant, un déversement de pus par l’orifice de la verge.
 En cas de cystite : impression de brulure pendant en urinant, une constante envie d’uriner.
 En cas d’épydimite orchite ou infection des testicules : dilatation des bourses, irritation des testicules et des souffrances à l’éjaculation.
 En cas de prostatite : souffrance au niveau du pubis et pouvant se propager en direction de l’anus ou du ventre, éjaculation pénible.
 En cas de pyélonéphrite : extrême souffrance dans le bas du dos, température, grosses sueurs.

Le traitement de l’infection urinaire chez l’homme

Le traitement est composé d’antibiotiques pris pendant une durée variant selon la gravité et la localité de l’infection. Le cas pyélonéphrite, qui est grave, nécessite l’admission à l’hôpital.

La prévention de l’infection urinaire chez l’homme

 Avoir des rapports sexuels protégés. Dans certains cas, il est possible d’éliminer les bactéries en urinant après un rapport sexuel.
 Utiliser les douches que les baignoires, car l’eau peut être contaminée l’urètre ;
 Boire suffisamment d’eau et consommer d’aliments riches en eau. L’eau augmente le flot urinaire et diminue les risques d’infection.
 Consommer de la canneberge, ce fruit contient des éléments capables d’empêcher la prolifération des bactéries sur les parois de la vessie.
 Consommer des champignons pour renforcer le système immunitaire.

Différence entre l’asthme simple et l’asthme allergique

Une allergie désigne une réplique excessive de l’organisme face à un allergène qui est normalement inoffensif. L’asthme est une affection inflammatoire des bronches qui provoque des gênes respiratoires et des crises. Lorsque ces crises sont engendrées par un allergène, on appelle la maladie l’asthme allergique. En général, les personnes de nature asthmatique ont les bronches plus étroites et plus sensibles par rapport aux individus sains. Ceci perturbe la voie respiratoire et entraîne des symptômes comme les toux chroniques, le sifflement à l’expiration, etc. Les crises apparaissent souvent lorsque le patient est exposé à certains éléments excitants qui compriment encore plus les parois des bronches. Donc, pour un asthme simple, l’effort ou la pollution peuvent engendrer une crise. Pour un asthme allergique, les éléments excitants qui déclenchent la crise sont principalement des allergènes tels que les acariens, les pollens, les poils d’animaux, les moisissures et certains aliments.

L’asthme allergique est généralement lié à l’environnement

L’asthme allergique chez une personne commence habituellement dès l’enfance, la plupart du temps avant les 5 ans de l’enfant. Mais dans de rares cas, il peut également survenir une fois adulte. Les causes sont souvent un environnement néfaste et une situation génétique convenable. C’est la confrontation de ces deux causes qui provoque habituellement la maladie. Donc, les changements environnementaux, la pollution atmosphérique, les microbes et les changements climatiques favorisent le déclenchement des crises de l’asthme allergique.

Que faire alors ?

Pour éviter les crises et garder de bonnes conditions de vie, évitez les situations qui vous mettent au contact des éléments allergènes. Les centres comme Asthmaallergycenter.com peuvent vous donner plusieurs conseils pour éviter les situations à risque. Ils vous conseillent notamment de nettoyer régulièrement l’intérieur de la maison pour éviter les moisissures et les acariens. Les personnes asthmatiques ne devraient pas non plus élever des animaux domestiques ou vivre à la campagne, dans une ferme. Par contre, il est difficile d’éviter les facteurs allergènes liés à l’environnement. Heureusement, il existe un traitement médicamenteux que l’on peut adopter en cas de crise grave. Les médecins recommandent souvent comme traitement un spray de bronchodilatateurs, des corticoïdes inhalés ou une biothérapie.

Quelles sont les différentes formes d’arthrites inflammatoires ?

Il y a différentes formes d’arthrites inflammatoires. Parmi les plus formes les plus répandues de l’arthrite inflammatoire, les polyarthrites et les rhumatismes inflammatoires qui sont les plus connues. Sans traitement, la pathologie peut s’aggraver et conduire à une invalidité. L’arthrite septique et l’arthrite septique font également partie des formes d’arthrites qui touchent de nombreuses personnes. Il y a également la spondylarthrite ankylosante qui attaque surtout la colonne vertébrale. Si l’arthrite n’est pas soignée correctement, alors il peut attaquer les autres os voisins.

Comment se manifeste l’arthrite inflammatoire ?

L’arthrite inflammatoire se manifeste par une importante douleur, quelle que soit sa forme. Si elle n’est pas traitée, celle-ci peut toucher les zones aux alentours. L’organisme peut s’affaiblir au fur et à mesure que la maladie continue d’évoluer. D’importantes fièvres ainsi qu’une phase d’amaigrissement peuvent survenir au fur et à mesure que l’arthrite inflammatoire se développe. Ces fièvres cadenceront la vie du patient s’il ne reçoit pas de traitement adéquat.

Comment traiter l’arthrite inflammatoire ?

Il n’y a que les traitements médicamenteux qui permettent de soulager la maladie. Généralement, le médecin prescrit des anti-inflammatoires et des analgésiques, mais si la maladie continue de s’aggraver, le médecin préconise des immunosuppresseurs à base de sels d’or, d’antipaludéens de synthèses ou de D-pénicillamine. Des séances d’ergothérapie et de kinésithérapie sont également prévues pour traiter l’arthrite inflammatoire. Le rhumatisme articulaire aigu peut provoquer des provoquer des problèmes cardiaques à cas de l’apparition d’une angine à streptocoque. Cela nécessite donc une intervention en urgence. Cette pathologie provoque également des déformations des articulations et parfois des blocages musculaires.

Quels sont les aliments à consommer pour soigner l’arthrite inflammatoire ?

Adopter un régime alimentaire plus sain permet de mieux traiter l’arthrite inflammatoire. Il est important que les personnes atteintes de cette maladie doivent effectuer une détoxification de leur organisme. La base de l’alimentation consiste à manger une quantité importante de fibre et de fines herbes, ainsi que des légumes verts et fruits. Les oméga-3 minimisent également les douleurs. Ils sont présents dans les saumons, les sardines, les maquereaux et d’autres poissons gras. Les oméga-6 ont également la propriété anti-inflammatoire. Vous pouvez en trouver en grande quantité dans l’huile de maïs, de soja et de tournesol. Les aliments riches en vitamine E sont également à privilégier. Ils permettent à l’organisme de combattre la maladie. Il est également important d’apporter une source importante de vitamine C à l’organisme, non seulement pour l’aider à faire face, mais surtout pour sa faculté à booster la fabrication d collagène. Les aliments riches en vitamine C, comme les baies, les agrumes, les brocolis et les kiwis, permettent donc de réduire la prolifération de la maladie.

Les causes d’une infection urinaire chez le bébé

En général, l’envahissement de bactéries appelé l’Escherichia coli est la principale source de cette la maladie. Il s’agit d’une bactérie qui est déjà présente dans l’intestin en temps normal. Mais, lorsqu’elle est transportée par les matières fécales, il n’est pas impossible qu’elle soit mise en contact avec l’orifice de l’urètre. Mais, la stagnation de l’urine est également un facteur qui peut entraîner cette maladie. En effet, les bactéries se développent plus facilement lorsque l’urine n’est pas correctement évacuée. L’infection urinaire peut donc être aussi due à une insuffisance en eau et à la constipation.

La manifestation de l’infection urinaire chez les enfants

Il n’est pas toujours évident de reconnaître que l’enfant souffre d’une infection urinaire. En effet, la pathologie est parfois latente. En d’autres termes, à part une fièvre isolée, elle ne présente pas des signes évocateurs. Mais, les symptômes qu’on observe chez les jeunes enfants sont généralement les mêmes que ceux qu’on trouve chez les adultes. Il est possible que l’enfant ait des difficultés à uriner lorsque les bactéries touchent la vessie et l’urètre. On parle d’une infection basse. Lorsque le sujet est un enfant qui ne sait pas encore parler ou qui ne sait pas encore exprimer ce qu’il ressent, il est très important de rester attentif sur d’autres formes de symptômes. Il est possible que l’enfant soit dans un état de fébrilité et que l’odeur de son urine soit à la fois forte et désagréable. Lorsqu’il s’agit d’un nourrisson, on doit commencer à réagir à partir du moment où il a de la fièvre, il pleure de manière inhabituelle et incessamment, il a une perte d’appétit et ses urines sont odorantes. L’infection peut être une infection haute à partir du moment où les bactéries atteignent les reins. L’enfant peut alors souffrir d’une fièvre plus intense qui est accompagnée par des frissons.

L’étape du diagnostic que la maladie est réellement professionnelle

Toutes les maladies ne peuvent pas être prises en compte comme étant une maladie professionnelle. Vous devez donc, vous faire diagnostiquer par un professionnel avant d’affirmer et de demander une couverture santé pour maladie professionnelle. En effet, peuvent être considérés dans comme maladie professionnelle, les infections au niveau de la peau et de la voie respiratoire, les problèmes de vue, les troubles au niveau des muscles et de la structure osseuse, etc. Ces dernières sont listées dans le Code de la Sécurité Sociale et consultable sur le site de l’INRS. Vous devez aussi vous y référer, car les 118 tableaux qui y figurent listent les noms des métiers à risque et couverts par la sécurité sociale. Il est également nécessaire que vous soyez une victime d’une exposition d’éléments à risque sur votre lieur de travail. Ces éléments peuvent être des vapeurs, du bruit, etc. Enfin, il est nécessaire que la maladie ait été diagnostiquée sur un délai que les tableaux du Code de la sécurité sociale ont définis.

La déclaration

Si vous respectez toutes les conditions ci-dessus, vous devez vous-même assuré la déclaration de votre maladie professionnelle au CPAM. C’est l’organisme qui est en charge de la gestion des assurances maladie et du paiement des indemnités. Vous aurez ainsi, une fiche à remplir et à remettre dans les 15 jours après votre arrêt maladie au sein de la boite qui vous emploi. Avec cette fiche, vous enverrez également au CPAM, deux copies de votre certificat médical (fiche S6909) ainsi qu’une certification émanant de votre employeur que toutes vos rémunérations vous ont été octroyées (fiche 6202)

L’attente de la réponse du CPAM

Dès lors que vous aurez déposé votre dossier de demande au niveau du CPAM, ce dernier va procéder à une enquête médico-administrative sur le sujet. Il procèdera à cette enquête sur une période de 3 mois et donnera son avis concernant le caractère de la maladie, c’est-à-dire, si cette dernière est d’origine professionnelle ou non. Par ailleurs, dès que vous déposez votre dossier, le CPAM vous donne droit à la fiche S6201 qui vous permet d’éviter de payer toutes sortes d’avance sur les frais engagés pour un traitement et un soin de la maladie que vous avez contracté. Cette fiche devra être montrée à tous vos médecins traitant dans le cadre d’une hospitalisation ou pour un traitement chez un spacialiste privé. Dès que cette dernière est remplie, vous pouvez en demander une autre au CPAM. Au bout des 3 mois, si vous n’avez pas de retour du CPAM, cela veut dire que la caisse vous accorde la prise en charge. Autrement, vous et votre employeur seront avisés par lettre recommandée pour être au courant du type de maladie et qu’il n’est pas d’origine professionnelle.