1. Utiliser du jus de citron

Pour des peaux pas trop sensibles, appliquez du jus de citron fraichement pressé sur les zones à traiter. Qui plus est, c’est un excellent antibactérien. Faites le traitement pendant 10 jours et vous verrez que les boutons vont disparaître peu à peu.

2. Appliquer de la tomate

Avec ses propriétés antioxydants, réduction des rougeurs, la tomate est un bon remède pour tous types de peau. Tranchez la tomate, puis massez légèrement les zones acnéiques avec la partie coupée. Ensuite, laissez agir pendant 20 minutes et rincez la partie traitée à l’eau tiède. Répétez le traitement chaque jour pendant au moins une semaine. Et vous verrez que le résultat serait stupéfiant.

3. Mettre du dentifrice bio

Les dentifrices contiennent des substances asséchantes, ce qui aura pour effet d’assécher rapidement les boutons. Pour ce faire, l’application doit être locale, c’est-à-dire une petite quantité de dentifrice au niveau de chaque bouton. Laissez agir toute la nuit ou au minimum 5 heures, puis nettoyez à l’eau tiède. Le traitement dure pendant 2 jours.

4. Penser à l’Aloe vera

Surnommé aussi plante magique, l’Aloe vera est réputé pour ses nombreuses vertus thérapeutiques et cosmétiques. C’est d’ailleurs un ingrédient efficace pour prévenir et surtout pour éliminer les acnés. Pour cela, il suffit juste d’appliquer le gel sur votre visage comme une crème hydratante. Et massez délicatement afin d’enlever les excès de sébum. Vous pouvez le laisser durant toute la journée ou pendant toute la nuit. Après, rincez avec de l’eau tiède. Notez que l’utilisation journalière du gel ne présente aucun risque.

5. Adopter des habitudes saines

Comme conseils, vous devez éviter les alimentations trop grasses. Privilégiez plutôt les fruits et légumes. Pensez également à boire de l’eau plate (non gazeuse) au moins 1,5 litre par jour pour rester hydraté et éliminer les impuretés dans l’organisme. Par ailleurs, il est important de diminuer la consommation de tabac et d’alcools. Et surtout, n’oubliez pas de vous démaquiller et de laver votre visage chaque soir même si vous avez eu une grosse journée. Votre peau a besoin d’être propre pour bien respirer.

Qui est en charge de l’organisation ?

Selon la loi, le défunt est le premier responsable dans l’organisation de ses obsèques. Si le défunt a souscrit à une assurance obsèques, les membres de sa famille doivent respecter ses volontés. Avec cette assurance, tous les détails concernant le déroulement des funérailles sont fixés au préalable (prestataires, choix du cercueil, etc.). Si le défunt n’a laissé aucune recommandation, c’est aux membres de la famille d’organiser les obsèques. Les responsables par ordre de priorité sont le conjoint (ou la conjointe), les enfants puis les parents. Pour une personne sans famille, les proches et amis peuvent se charger des funérailles. La commune peut aussi garantir des obsèques au confort minimal pour une personne sans ressource.

Quelles sont les démarches à suivre ?

Pour organiser des funérailles, des démarches légales doivent être effectuées. Parmi les formalités à respecter, il y a par exemple la déclaration de décès, le permis d’inhumer ou l’autorisation de crémation. Il existe même d’autres procédures particulières à suivre dans le cas d’un décès qui survient à l’étranger. Les autres formalités concernant l’organisation de la succession (assurance vie, assurance décès, etc.) peuvent être réglées après les funérailles.

Après les démarches administratives, il faut penser aux diverses étapes telles que l’organisation des toilettes mortuaires, le choix du cercueil, les soins de conservation, la préparation de la cérémonie ainsi que l’inhumation ou la crémation. Toutes ces tâches peuvent être gérées par les membres de la famille, mais il est généralement plus simple de faire appel à un service de pompes funèbres. Sur ce point, odella peut vous aider à trouver un service de pompes funèbres ou vous accompagner dans toutes les démarches à faire pour assurer les funérailles de vos proches. Ce type de professionnel prend souvent en charge toute l’organisation des obsèques en suivant les recommandations de la famille ou du défunt.

Comment se déroulent les obsèques ?

Les obsèques commencent par le transport du défunt vers la chambre funéraire où sa famille, ses amis et ses connaissances vont se recueillir. Le défunt est ensuite mis en bière et le cercueil sera fermé. Dans le cas d’une cérémonie civile ou laïque, aucune règle en particulier n’est à respecter. Après la mise en bière, le cercueil peut par exemple être transporté directement au cimetière là où un dernier hommage sera rendu au défunt. Ce type de cérémonie permet une plus grande liberté dans l’organisation d’obsèques personnalisées. Happy End vous donne des conseils pour créer une cérémonie laïque de funérailles douce et à l’image de votre défunt.
Pour le cas d’une cérémonie religieuse (catholique, juive, etc.), le passage par un lieu de culte est nécessaire avant l’inhumation. Le déroulement de la cérémonie dépendra de chaque religion. Après la cérémonie vient l’étape de l’inhumation ou de la crémation. L’inhumation consiste à mettre en terre le cercueil dans un cimetière. La crémation consiste quant à elle, à réduire en cendre le corps du défunt dans un crématorium. Suivant la coutume de la famille ou la recommandation du défunt de son vivant, les cendres seront soit conservées et mises dans un espace collectif au sein d’un cimetière, soit dispersées en pleine nature. Après la cérémonie (ou avant), il est possible d’organiser une réception. Cette dernière étape est courante lors de funérailles et participe au processus de deuil des membres de la famille.

Une alimentation bien équilibrée

Tout au long de la grossesse, on ressent des envies bizarres. Certaines femmes ont l’envie de manger des aliments aigres, ou trop sucrés et on a toujours l’impression d’avoir faim. Si vous voulez que votre enfant soit en bonne santé pendant 9 mois, une alimentation équilibrée permet de garantir le bon développement de votre bébé. Sachez que vous ne mangez pas seulement pour vous-même, mais pour deux personnes. Les fruits, les légumes et les produits laitiers sont indispensables, la consommation des protéines telle que les poissons et les viandes sont conseillées, une ou deux fois par jour. L’alcool est interdit pendant la grossesse même si c’est en faible quantité. Vous pouvez boire de l’eau selon votre volonté.

La prise des médicaments et les exercices

La pratique des exercices physiques pendant la grossesse n’est pas interdite, en fait, elle est très conseillée. Les avantages pour les activités sportives sont nombreux, elles tranquillisent l’esprit, elles apportent des avantages pour le cœur et le poids. Le sport pendant la grossesse est seulement pour l’entretien du corps, mais non pas pour la performance. Vous pouvez choisir entre la marche, la natation et le yoga. Il ne faut quand même pas faire trop d’effort, une séance de 30 minutes serait suffisante. Attention ! La prise de certains médicaments peut entraîner des malformations sur l’embryon ou le fœtus. Il est conseillé de consulter un médecin, même si on enceinte d’un mois ou moins, le prise des médicaments contre-indiqués peuvent entraîner de graves conséquences.

Conseils pour des pieds en bonne santé

Le premier conseil, c’est de ne jamais négliger vos pieds. Puis, ne portez pas toujours les mêmes chaussures et autant que possible, marchez pieds nus. Marcher pieds nus, c’est bon pour la voûte plantaire, pour les tendons et pour les muscles du pied. Mais cela permet aussi de faire travailler vos pieds et active le système sensorimoteur. Marchez pieds nus chez vous, mais aussi dehors, dans votre jardin, dans un parc, sur le sable lorsque vous êtes en bord de mer, sur le sol de la forêt. Vous en ressentirez des sensations agréables mais surtout, vous massez ainsi vos pieds, ce qui est bénéfique pour votre corps en général.

Portez des chaussures adaptées

Pour des pieds en bonne santé, pensez à porter uniquement des chaussures qui vous sont véritablement adaptées. Vos chaussures ne doivent pas être trop hautes, c’est vraiment mauvais pour la circulation sanguine et pour votre dos, mais elles ne doivent pas être trop larges ni trop étroites ni trop courtes non plus. Sinon, vous risquez d’avoir des ampoules, des rougeurs ou pire, vous pourriez avoir des pieds déformés. Souvenez-vous que le pied a besoin de soutien, d’un bon soutien pour rester en bonne santé. Bien que des chaussures vous plaisent comme jamais, ne cédez pas à la tentation si elles ne correspondent pas parfaitement à vos pieds.

Comprendre le TDAH

Le TDAH est un trouble complexe, voilà pourquoi il est sujet à de nombreuses idées reçues. La prévalence de ce trouble est d’environ 3.5% en France d’après une étude mais on a pu prélever que la majorité des enfants atteints sont inattentifs. Certains sont hyperactifs-impulsifs et d’autres combinent l’inattention et l’hyperactivité accompagnée d’impulsivité Parmi les enfants scolarisés actuellement en France, environ 5% sont atteints de TDAH. Le TDAH touche plus les garçons que les filles en général. Il combine différents symptômes dont les plus importants sont le déficit de l’attention, l’impulsivité et l’hyperactivité motrice. L’intensité de ces symptômes change en fonction de chaque individu. On relève d’autres symptômes comme le trouble de la perception et de la conceptualisation, le déficit de langage et de la coordination. Le TDAH peut aussi impacter sur la mémoire de l’enfant et se trouver à l’origine des dyspraxies.
De nos jours, peu de parents savent que leur enfant est hyperactif, certains ne remarquent même pas qu’il est agité. On confond souvent la bougeotte et la turbulence avec l’hyperactivité chez l’enfant alors que ce n’est pas du tout le cas. Certains affirment que ce trouble est récent mais non, il a toujours existé. L’agitation ne doit pas être inquiétante sauf si les symptômes sont de plus en plus handicapants et affectent la vie de l’enfant : échec scolaire, problème dans sa vie sociale, etc. Le plus souvent, le TDAH est détecté vers l’âge de 12 ans grâce à différents comportements de l’enfant. Mais quelles peuvent être les causes de ce trouble ? Parmi les causes, on retrouve notamment l’hérédité, un dysfonctionnement du cerveau, problème de stockage de fer, etc.

Repérer et traiter le TDAH

Pour traiter le TDAH, il faut déjà le détecter. La plupart du temps, on repère le trouble chez l’enfant à travers sa vie scolaire. Il a, en général, des problèmes d’apprentissage et cela se traduit souvent par un échec scolaire. L’enfant présente une instabilité psychomotrice : il a un comportement hyperactif non intentionnel et sans objectif précis. Cela représente un obstacle pour l’attention et la concentration. De ce fait, il n’est pas capable de réaliser des travaux structurés, ceux qui sont proposés par le professeur aux autres élèves. Avec une telle agitation, il ne peut se tenir tranquille sur une chaise, son attention est toujours interrompue. Néanmoins, ce déficit d’attention est sélectif puisqu’il peut très bien se concentrer sur des choses qu’il apprécie comme regarder la télé, jouer aux jeux vidéo ou manipuler son jouet préféré. Outre l’instabilité psychomotrice, l’enfant atteint de TDAH a un trouble du langage, il a des difficultés à terminer une phrase. Cela peut arriver malgré le manque de concentration ou bien l’oubli. Il convient de préciser que l’enfant est très impulsif et agit souvent sans réfléchir. D’ailleurs, il présente une mauvaise coordination des mouvements : réaliser deux actions simultanément lui est impossible. A cela s’ajoute des troubles de latéralité et d’autres incapacités comme s’habiller tout seul ou mettre correctement les chaussures. Bref, un enfant souffrant de TDAH souffre dans la vie sociale, il a du mal à s’intégrer et de communiquer avec son entourage. Son manque de concentration le bloque et rend difficile tout apprentissage (lecture, écriture, etc.).

Pour bien traiter ces troubles, il faut les diagnostiquer plus tôt car il faut que l’enfant soit pris en charge dès son plus jeune âge. Les parents doivent l’emmener chez le pédiatre et ils doivent subir un interrogatoire. Lorsque le TDAH est confirmé, le pédiatre leur suggère un spécialiste qui peut être un neurologue ou un neuropédiatre. L’intervention d’un psychiatre ou d’un pédopsychiatre est aussi adaptée. Le traitement repose généralement sur la thérapie : il combine médicaments et psychothérapie. Par ailleurs, un enfant souffrant de ce trouble a besoin du soutien de son entourage mais surtout de son professeur, sinon il souffrira encore plus et s’enfermera sur lui-même.

Bien respirer

Lorsqu’une personne fait face à une crise d’angoisse ou à un état de stress, on remarque souvent que sa respiration s’accélère ou qu’elle a tendance à bouger les pieds, les mains ou autres. Sa respiration a un rythme inhabituel. Durant ce laps de temps, la personne en proie à une crise d’angoisse ou à un état de stress va expirer et inspirer une quantité importante d’air. Cependant, les spécialistes ont constaté qu’avec ce comportement, au lieu d’ingérer un maximum d’oxygène, l’individu va inhaler un volume important de CO2. Ce qui va provoquer un manque en oxygène. Ce manque d’oxygène va causer ce qu’on appelle les mains moites, provoquer un ballonnement au niveau du ventre, ou même un noeud à l’estomac. Il est même possible qu’une personne ait le vertige ou ait envie de vomir. Ces sensations sont dues à la respiration saccadée de la personne en situation de crise. Pour résoudre ce cas dit d’hyperventilation, il faut prendre le temps de bien respirer afin de couper le processus d’inspiration et d’expiration saccadée. On peut dans ce cas opter pour cette technique de respiration dite « respiration carrée ». Le principe est simple. Prenez une pause et réalisez votre inspiration calmement en comptant jusqu’à 4. Après 4, maintenez votre respiration avant d’expirer lentement. Répétez cet exercice autant de fois que nécessaire pour faire baisser la pression et permettre à votre organisme de se réoxygéner convenablement.

Utiliser les points de relaxation

Selon les spécialistes en psychologie et en réflexologie, les cas de stress et d’angoisse sont des situations provoquées par un déséquilibre ponctuel de l’esprit et du corps. De ce fait, on peut stimuler quelques points de pression pour résoudre le problème. Pour faire retomber l’état d’angoisse et de stress, les spécialistes recommandent de presser l’ongle d’un de vos pouces. Maintenez la pression pendant environ 30 sec. Vous allez sentir vos nerfs se relâcher et le niveau de pression descendre progressivement. Par ailleurs, lorsque vous pressez la partie charnue de votre pouce sur la paume de l’autre main, cela va aussi vous permettre d’atténuer la sécrétion d’adrénaline et vous apporter plus de relaxation.

Respirer en alternance

Une bonne respiration est toujours la base du relâchement de la pression causée par un cas de stress ou d’angoisse. Elle permet aussi de réduire rapidement et de manière naturelle la crise ressentie et l’accélération de la respiration qui peut causer la contraction des muscles, l’insuffisance de l’oxygénation du cerveau ainsi que du cœur. La technique de respiration en alternance est dans ce cas un excellent exercice à pratiquer. Pour cela, commencez en positionnant votre pouce droit au niveau de votre narine droite. Mettez en même temps votre annulaire droit au niveau de votre narine gauche. Pressez légèrement votre narine gauche avec votre annulaire afin de bloquer l’inspiration. Inspirez profondément avec votre narine droite. Une fois vos poumons bien remplis d’air, expirez, mais cette fois-ci, bloquez votre narine droite et expirez avec celle de gauche. Une fois que c’est fait, bloquez votre respiration en comptant jusqu’à 4 avant de refaire l’exercice, mais cette fois, en inspirant par la narine droite et en expirant avec celle de gauche. Faites cet exercice d’alternance jusqu’à ce que vous ressentiez la pression descendre.

Comment le Covid-19 se transmet-il ?

De nombreuses études ont montré que cette pandémie se transmet facilement en attaquant les voies respiratoires à travers les éternuements et les cas de toux. En d’autres termes, il s’agit d’une transmission interhumaine. Les moindres contacts avec une personne infectée favorisent de ce fait, les risques de contamination et surtout en cas d’absence de mesures de protection adéquates. Selon les études, cette maladie peut aussi se transmettre avec des aliments ou autres objets physiques, si ces derniers ont été manipulés par une personne infectée et n’ont pas été désinfectés. Néanmoins, aucune preuve n’a encore été apportée que les animaux de compagnies ou l’air peuvent propager ce virus.

Quels sont les symptômes du Covid-19 ?

D’après une recherche approfondie sur le sujet, les symptômes les plus fréquents qu’on a pu constater en cas d’infection par le coronavirus est la présence de fièvre, d’une toux sèche, d’un cas de fatigue, d’une douleur osseuse ou articulaire, d’un mal de gorge et de tête, d’une nausée, d’un nez bouché et bien d’autres encore. Par rapport à tout cela, la majorité des victimes du Covid-19 en Chine (d’où la maladie est partie) ont toutes été fiévreuses et toussaient sèchement. Il est aussi fortement recommandé de consulter un médecin si une perte de goût et de l’odorat commencent à se manifester. Mais ce signe reste toujours rare et n’est souvent observé que chez les jeunes patients.

Les mesures adaptées pour prévenir l’infection

Vu qu’il n’existe pas encore de traitement spécifique pour lutter contre la contamination et la propagation du coronavirus, chaque gouvernement des pays atteints par la maladie se doit de communiquer des mesures préventives. Tout le monde, sans exception, doit se laver les mains de façon régulière et utiliser le coude pour tousser ou éternuer afin d’empêcher la propagation des virus. Mais également, chacun est invité à porter un masque surtout pour les personnes malades. En ce qui concerne les personnes en contact avec un ou plusieurs malades, il faut tâcher de surveiller trois fois par jour leur température. Et en cas d’apparition des symptômes sus mentionnés, il est impératif d’éviter de fréquenter des personnes fragiles. Par ailleurs, en cas de signe, il est recommandé de s’approcher au plus vite d’un centre de traitement et de prise en charge des cas de Covid-19 où on peut prodiguer les soins appropriés.

Accoucher sans souffrir grâce à la péridurale et l’anesthésie

Une femme enceinte a 9 mois pour décider de la méthode de délivrance. Beaucoup de mamans choisissent la voie basse en ayant conscience que ce sera une rude épreuve. La péridurale est évoquée par la sage-femme ou l’obstétricien pendant les consultations prénatales. Cette solution consiste à accoucher sans douleur ou avec le moins de souffrance qui soit grâce à l’anesthésie. Des produits actifs rendent les nerfs au niveau des lombaires moins sensibles. L’effet devient effectif quelques minutes après l’injection. La personne peut mieux encaisser les contractions. Sous anesthésie, la délivrance s’avère être plus supportable. Seulement, les effets secondaires deviennent problématiques surtout avec une perfusion à la morphine. C’est la raison pour laquelle il faut réserver l’opération césarienne en dernier recours.

Bien préparer un accouchement par voie basse

Il est tout à fait possible d’accoucher sans souffrir le martyre grâce à une bonne préparation. Pour ce faire, la formation avec la sage-femme est indispensable. Il existe également des ateliers qui apprennent aux futures mères comment gérer la naissance de bébé. Des sites comme accouchement-naturel.com proposent aussi des astuces pour moins ressentir la douleur au moment de l’accouchement. Un ostéopathe reconnu a aussi mis au point une approche basée sur des expériences concrètes. Le praticien suggère un protocole d’accouchement sans douleur à travers une vingtaine de séances. La femme doit venir quotidiennement dans son cabinet pour apprendre tous les modules. La formation permet de gérer les sensations physiques et le souffle. Elle porte également sur le côté émotionnel notamment le stress de la délivrance. Pour que l’accouchement se passe bien, le futur papa et la future mère doivent préparer ensemble l’arrivée de bébé en discutant avec le personnel médical, en préparant les effets de bébé, etc. Tout cela réduit le stress le jour de l’accouchement. La sophrologie est aussi indiquée pour mieux supporter les contractions.

Envisager des méthodes non conventionnelles de délivrance sans souffrance

De tout temps, l’humanité a toujours cherché une manière de donner naissance à un enfant sans souffrir. La Chine propose l’acupuncture. Cette médecine alternative consiste à équilibrer le Yang et le Yin. L’harmonisation du flux d’énergie vitale qui traverse tout le corps pourrait aider à moins ressentir les lancinations. Si vous choisissez cette méthode, il faudra en parler avec votre obstétricien ou votre sage-femme chargée de la consultation prénatale.
L’hypnose est aussi une technique à explorer. L’efficacité réelle de cette approche reste encore à démontrer cliniquement. En cas d’absence de preuves scientifiques, ce sont surtout les témoignages qui comptent. De toute manière, les équipes médicales ne sont pas contre cette technique pour réduire le stress ou pour détourner l’attention de la lombalgie chronique.
La méthode Bonapace est une préparation à l’accouchement basée sur des postures de yoga et la respiration. Le massage par des professionnels permet aussi de conditionner le corps de la femme à une délivrance plus agréable.

Diagnostiquer diverses pathologies grâce à l’électrocardiogramme

Le principal rôle de l’électrocardiogramme consiste à vérifier le fonctionnement électrique du cœur. L’ECG illustre le rythme cardiaque par un graphique qu’il faudra interpréter. Le spécialiste reconnaît lorsque les courbes montrent une anomalie. Un patient peut par exemple présenter une arythmie. Ce symptôme révèle parfois la présence d’une angine de poitrine ou d’un risque d’infarctus de myocarde. Les personnes vivant avec une hypertension artérielle ou une péricardite reflètent aussi leur état de santé avec des courbes différentes du standard.

Observer l’état des patients au bloc ou en soins intensifs

L’ECG est utilisé dans trois contextes. Le cardiologue a recours à cet examen en cas de soupçon de maladie du cœur. Les courbes peuvent révéler la présence d’une inflammation des tissus ou d’un trouble purement fonctionnel. L’expertise peut se faire lors d’une consultation externe ou bien pendant un séjour à l’hôpital. Les électrodes sont branchées sur les patients sous anesthésie dans le bloc opératoire. L’appareil montre en temps réel les données illustrant son état de santé. Plus rarement, l’ECG est utilisé pour suivre de près les performances des sportifs de haut niveau.

Analyser les données pour orienter le traitement

En consultation externe, l’analyse des données fournies par l’ECG aide à orienter le traitement. Dans un premier temps, les courbes permettent d’affirmer ou d’écarter des maladies touchant le système cardiovasculaire. Ces détails sont indispensables aux chirurgiens, mais surtout à l’anesthésiste afin de prendre des décisions sur une future opération. Les anomalies de l’ECG révèlent parfois des pathologies d’ordre neurologique ou respiratoire. Outre les douleurs à la poitrine, l’essoufflement peut être le signe d’un problème de cœur.

Les solutions basées sur le complément capillaire

Ces solutions sont tout particulièrement indiquées aux hommes, ou aux femmes aux cheveux courts. À l’heure actuelle, on distingue trois différentes solutions dans cette catégorie. La première consiste à l’application de la lotion minoxidil sur les zones qui sont dépourvues de cheveux. Le traitement est assez contraignant. Aussi, les résultats ne sont palpables que sur le long terme. La seconde solution consiste à faire de la greffe capillaire. Les résultats sont observables dans l’immédiat. En revanche, elle est assez onéreuse. Pour finir, la troisième solution consiste à mettre des prothèses capillaires. Dans la pratique, il s’agit essentiellement d’une perruque haut de gamme qui reproduit quasiment la texture des cheveux. En fait, les prothèses capillaires peuvent se décliner en cheveux naturels ou synthétiques afin de se conformer à vos préférences et vos envies. Il est même possible de créer un rendu qui est semblable à vos cheveux au naturel.

Les nouvelles générations de perruques

Auparavant, le port de perruques peut être assez mal vu par la société, tout spécialement lorsque c’est un homme qui le porte. Pourtant, la situation a bien changé de nos jours. Les perruques sont désormais utilisées en guise de prothèses capillaires fiables. Puis, elle peut passer parfaitement inaperçue grâce au progrès technologique lors de sa fabrication. Par ailleurs, il existe dorénavant d’innombrables modèles de perruques. Celles dont la base est en polyuréthane exigent peu d’entretien et sont très résistantes dans le temps. Celles qui ont une base en tulle ou en lace conviennent plus aux sportifs et sportives. Elle s’ajuste facilement et parfaitement au cuir chevelu. Par conséquent, elle est plus confortable lors de la pratique des diverses activités physiques. Pour un minimum d’entretien, tout en bénéficiant d’un confort optimal, il est possible de combiner les deux. On obtient ainsi une base mixte.